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]]>J’en avais rêvé… ils l’ont fait ! Gallimard Jeunesse sort dans deux petits jours un magnifique jeu Harry Potter. Grâce au site spécialisé en littérature jeunesse, Les Histoires Sans Fin, j’ai eu la chance incroyable de tester ce fabuleux jeu de société. Une sacrée expérience pour tous les Moldus qui, comme moi, rêvent jour et nuit de recevoir enfin leur lettre d’entrée à Poudlard !
Côté règle du jeu, rien de bien compliqué ! On évolue sur le plateau comme sur celui d’un Trivial Poursuit. On lance le dé et c’est la couleur de la case sur laquelle on tombe qui détermine le tome de la question. Les questions sont réparties en trois niveaux de difficulté. Et tant qu’on gagne, on joue ! Choisissez bien vos adversaires parce que si vous vous battez contre des fans, des vrais, vous risquez de ne pas pouvoir toucher au dé une seule fois ! Et ça serait dommage !
Des cases « hibou » et « défi » mettent un peu de piment dans la partie. Sur les cases hibou, on ne sait jamais sur quoi on va tomber. D’un sort de stupéfixion qui vous paralyse pendant un tour à la potion qui donne droit à un sablier supplémentaire lors du prochain défi, tout peut arriver ! C’est avec ces cases défis qu’on rigole vraiment. Imaginez : mimer Rusard, un match de Quidditch ou un sorcier qui transplane, dessiner la Forêt Interdite ou le 4 Privet Drive, il y a de quoi se marrer, non ?!
C’est vraiment bien fichu et on passe un super moment. J’ai vraiment adoré revivre l’euphorie dans laquelle me plonge inévitablement l’univers d’Harry Potter. Croyez-moi, j’étais complètement surexcitée ! Pour les passionnés de Harry Potter, c’est un vrai régal de disserter sur le meilleur sortilège à utiliser en cas d’invasion de strangulos, si, si ! J’ai testé le jeu avec des fans et des moins fans. Mais autant prévenir les curieux tout de suite : mieux vaut bien connaître l’univers de J.K. Rowling pour vraiment s’amuser. Même si les joueurs ont le droit entre plusieurs trois niveaux de difficulté, il y a malgré tout une grande différence de complexité entre les questions et les cases « défi ». Il est donc conseillé d’avoir obtenu au moins un Effort Exceptionnel à son Brevet Universel de Sorcellerie Elémentaire (BUSE) avant de se lancer dans l’aventure !
Enfin, il faut reconnaître que les questions ne sont pas toujours très bien formulées et il est parfois difficile d’en comprendre le contexte. Et dernier petit, mais vraiment tout petit point négatif : la partie n’est pas assez longue !!
En bref, ce jeu Harry Potter c’est le rêve ultime pour tous les fans qui ne se remettent pas de la fin de la saga ! Un jeu drôlement bien fichu qui fait inévitablement passer un super moment. A tester obligatoirement avec un verre de Bierraubeurre à la main !
Vous pouvez retrouver également ma chronique sur le site des Histoires Sans Fin.
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A l’heure où j’écris ces quelques lignes, je n’ai pas encore regardé le treizième et dernier épisode de la première saison de la série Under the Dome, alors ayez pitié chers lecteurs et ne me spoilez pas sous peine d’être fouettés sur la place publique jusqu’à la diffusion de la saison 2 ! Vous voilà prévenus !
Bon, après ces petites mises en garde absolument nécessaires et à peine exagérées, je peux rentrer dans le vif du sujet et vous annoncer fièrement que oui, j’ai aimé Under the Dome.
Je tiens cependant à mettre en garde les puristes de Stephen King sur un point : je n’ai pas lu les romans. Mon avis ne concerne donc que la série. Bon, et puisqu’on est entre nous, je peux vous avouer que je n’ai jamais lu un Stephen King. Pfiou, ça fait du bien de le dire à quelqu’un !
C’est une petite série adapté de la saga Dôme de Stephen King. Pour résumer l’histoire en quelques lignes, imaginez qu’un dôme venu de nulle part apparaisse soudain dans votre ville pour l’englober toute entière. Et pas moyen de détruire le fameux dôme. En clair, vous êtes coincés. Un peu flippant comme ambiance. Surtout que les habitants désormais coupés du monde vont forcément piquer une crise à un moment ou un autre. C’est inévitable. Bref, Under the Dome, c’est l’histoire de ces gens coincés à Chester’s Mill.
Ben franchement, j’aime bien ! Si l’Homme de la maison vous dira que j’ai longtemps ronchonné avant de regarder la série (ne me demandez pas pourquoi, j’en sais rien ! quoi ? pour l’embêter ? possible… !), je suis pourtant tombée très vite et on a englouti la première saison en un rien de temps. Merci au temps pourri de samedi !
Je trouve que dans l’ensemble c’est pas mal fait. Je dirai même que le Dôme joue plutôt bien son rôle car il nous enferme dans son petit cercle (ah, ah !) vicieux en nous obligeant toujours à regarder l’épisode suivant ! Alors on n’est pas non plus dans le chef d’œuvre absolu et ça manque sans doute un peu de finesse, mais disons que c’est quand même sacrément addictif. Un bon point pour une série, non ?
Quant à la suite des événements, il devrait un avoir une saison deux prévue en 2014. Faudra attendre un peu donc… Et pour les honnêtes gens qui attendent la diffusion en France, sachez qu’elle est prévue sur M6. Testez… et vous me direz !
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J’avais rigolé, et même beaucoup rigolé dans le précédent film de Paul Feig : Mes Meilleures amies. Malgré quelques petites longueurs et un côté trop scatologique pour moi, je m’étais bidonnée. Du coup, j’attendais le réalisateur au tournant avec Les Flingueuses. Hélas, la mayonnaise n’a pas pris et aurait même presque tourné… Ce n’est clairement pas un coup de cœur, mais ça a le mérite d’être divertissant !
Sarah Ashburn (Sandra Bullock) est un agent spécial du FBI. Enquêtrice rigoureuse, elle est aussi arrogante que psychorigide et espère obtenir une promotion en coinçant un gros trafiquant de drogue. Mais c’est sans compter sur Shannon Mullins (Melissa McCarthy), un agent de police de Boston réputé pour son manque de délicatesse et son vocabulaire… comment dire… des plus fleuris ! Alors bien sûr toutes les deux n’ont jamais eu de partenaire (ni d’amis on peut dire) et vont devoir faire équipe ensemble. De grosses galères en perspective quoi !
Il faut bien reconnaître à Melissa un certain talent pour le gag et la comédie. Même si elle ne fait pas dans la dentelle et qu’elle interprète toujours le même genre de personnage, celui de la tarée trash qui n’a peur de rien, elle le fait plutôt bien. Maintenant, je suis toujours un peu déçue de la voir toujours cantonnée au rôle de la fille pas délicate du tout. Déjà dans Mes meilleures amies, c’était celle qui jouait la scato vulgaire. Pourtant dans Gilmore Girls, elle était toute rigolote !
Eh oui du coup, il vous faudra attendre jusqu’à la fin du film pour vous payer un vrai gros fou rire. Même si les situations comiques ne manquent pas tout au long du film (mention spéciale pour l’inoubliable scène dans laquelle Shannon Mullins cherche les coucougnettes de son responsable !), la scène bonus du générique est sans doute la plus drôle. Là, j’ai ri sans honte et sans complexe. Presque !
Si les cours de LV1 au lycée vous ont appris à situer Kevin dans son appartement (in the kitchen, in the bathroom…), ils ont en revanche totalement fait l’impasse sur le bon usage des insultes en pays étranger. Pas de panique, une petite séquence de rattrapage avec Les Flingueuses et vous devriez rattraper votre retard ! Si, si, j’ai appris tout plein d’insultes fleuries à utiliser dans toutes les occasions !
Je ne sais pas si je vous aurai donné envie d’aller voir le film, en tout cas, sachez qu’il sortira en France le 21 août.
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]]>C’est désormais devenu une habitude chez moi de faire les expos dans les derniers jours !
Vous savez comment ça se passe. Au moment où l’événement fait la une et où vous voyez les affiches dans le métro vous vous dites que vous irez. Vous poussez même le vice jusqu’à noter les dates dans votre agenda, oui, celui que vous mettez 3 heures à choisir au mois de janvier sans jamais vous en servir plus de cinq fois dans l’année. Résultat : 2 mois après avoir vu la fameuse affiche, vous n’avez toujours pas fait cette fiche expo. Prise de panique, vous consultez les dates de l’événement. « Encore 3 mois, ça va j’ai le temps ». Sauf que le temps, ça passe sacrément vite. Et vous voilà maintenant à deux semaines de la fin de l’expo. Plus le choix, faut y aller !
Remarquez, ce qu’il y a de bien à faire une expo dans les derniers jours, c’est qu’il n’y a personne. Vous pouvez flâner dans les allées sans être bousculée et sans avoir à vous mettre sur la pointe des pieds pour apercevoir le quart du tiers d’un tableau – enfin, ça c’est si vous êtes comme moi et si vous mesurez 1,38 mètres les bras levés sur un tabouret !
photos © La Cinémathèque Française
Mais bon, revenons à nos moutons – ou ânes en l’occurrence, nos parapluies de Cherbourg et autres demoiselles.
Après avoir vu Les Demoiselles de Rochefort confortablement installée dans une chaise longue au Grand Palais, je me devais de voir « Le monde enchanté de Jacques Demy ». Bon, en fait il faut bien l’avouer, je voulais surtout y aller pour voir les robes de Peau d’âne !! Vous imaginez, la robe couleur du soleil en vrai, là, devant soi ?!!
Bref, la Cinémathèque a recréé l’univers coloré et musical de Jacques Demy. Peintures, photos, extraits de film, autant de documents qui nous en apprennent plus sur le réalisateur et ses influences. Certains décors ont même été recréés, comme la rue des Demoiselles et les statues du château de Peau d’âne. C’est vraiment très beau !
Et que dire des robes ? Mes yeux de petites filles sont encore pleins d’étoles et de petits cœurs !!
Bon, comme il ne vous reste plus que quelques petits jours pour aller voir l’expo, je vous laisse en musique pour me faire pardonner !
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]]>Chers lecteurs attention : une invasion de zombies est prévue pour le 3 juillet prochain ! D’ici là, prenez toutes les précautions nécessaires pour faire face à ce fléau. Vous êtes prévenus…
Hier soir, j’ai eu la chance d’assister à une projection presse en avant première en direct des locaux de la Paramount, de World War Z, super film avec des zombies dedans ! Ceux qui me connaissent et me suivent un peu savent que je me suis découvert un goût pour les chairs en décomposition. C’est une passion comme une autre, non ? ;-) J’étais donc super contente à l’idée de voir ce film avant tout le monde. En plus, j’ai reçu une sorte de kit de survie en cas d’invasion pour de vraie composé d’une petite diode rouge qui clignote, d’une balle anti-stress, d’une canette de soda avec zéro sucres – ben ouais, plus léger on échappe plus facilement aux zombies – et d’un sac en tissu. De quoi tenir… 3 minutes 22 face à une horde de fous furieux contaminés !
Bref, le film événement World War Z de Marc Foster, adapté du best-seller du même nom, sortira dans les salles françaises (en 3D parce que bon maintenant on ne peut plus faire sans) mercredi 3 juillet. Dans le rôle du « sauveur de la planète » hyper sexy, c’est le beau Brad Pitt qui, on doit bien l’avouer, s’en tire plutôt vachement pas mal !
Retour sur un film catastrophe efficace et rudement bien mené.
Quand Gerry Lane et sa famille se retrouvent coincés dans les embouteillages, ils ne s’attendent pas à affronter leurs pires cauchemars. Tandis que les hélicoptères survolent le ciel et que la police quadrille les rues, la ville bascule peu à peu dans le chaos. Dans les rues de Philadelphie, des humains rendus fous par une contamination mystérieuse s’en prennent aux habitants désœuvrés. Les origines du fléau sont inconnues et le nombre de victimes augmente de minute en minute. Et lorsque ces êtres contaminés s’en prennent à l’armée et au gouvernement, Gerry Lane, ancien enquêteur des Nations Unies, est obligé de reprendre du service. Il s’engage dans une course à travers le monde pour identifier les causes de ce chaos et trouver le moyen de stopper la contamination.
Que je vous prévienne tout de suite : je n’ai pas lu le livre de Marc Foster. Du coup, mon avis est uniquement basé sur mon ressenti du film. Je ne pourrai pas, hélas, vous faire un commentaire composé en trois parties sur les points qui font de World War Z une bonne ou une mauvaise adaptation ciné. Vous êtes déçus ?
Toujours est-il que pour moi, c’est une excellente surprise. J’ai vraiment accroché dès les premières minutes du film. Faut dire que ça commence fort ! Les péripéties s’enchaînent à un rythme effréné mené par un Brad Pitt incroyablement sexy et efficace. Le père de famille que l’on souhaiterait toutes pour nos enfants. Grrr… Bruce Willis est bien pâle à côté de Brad dans ce rôle de super fort qui sauve tout le monde… ou pas.
World War Z nous tient vraiment en haleine du début à la fin. On sursaute, on tremble, on se cramponne à l’accoudoir du siège d’à-côté, déjà tout déchiré de la séance précédente, ou au bras du mec qui nous accompagne ce soir-là, trop content de nous voir littéralement sauter sur lui, paniquée à chaque apparition d’un zombie en 3D. On ressort de la séance légèrement parano sur les bords, persuadé que les zombies sont partout autour de nous… et surtout dans les transports en commun à Châtelet les Halles un soir après 23 heures…
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]]>Si pour beaucoup d’entre vous vendredi 21 juin c’était la Fête de la Musique, pour moi c’était séance de ciné au Grand Palais ! Une belle petite soirée.
Du 10 au 21 juin – oui vous avez compris je vous parle une fois de plus d’un événement terminé ! – le Grand Palais s’est transformé en drive-in géant : Cinéma Paradisio. Au programme : diner américain, piste de rollers, jeux vidéo et cinéma « plein air » sous la grande verrière du Grand Palais.
Pendant une dizaine de jours, plusieurs films rétro comme Grease, Pulp Fiction ou E.T. ont été diffusés dans une ambiance de drive-in américain. J’ai vu vu Les Demoiselles de Rochefort de Jacques Demy. C’était super chouette. Confortablement installée dans une chaise longue, un casque sur les oreilles – le son du film provient d’un casque car il y a pas mal de bruit autour – j’ai fredonné la mythique chanson des jumelles au grain de beauté. Une très chouette soirée.
J’avais lu beaucoup d’avis négatifs sur ce Cinéma Paradisio du Grand Palais : trop cher, attrayant sur le papier mais décevant en réalité, pas assez dépaysant… Je ne suis pas aussi catégorique. Pour y passer seulement quelques heures je comprends la déception des visiteurs. Le pass étant quand même à plus de 10 euros, ça revient très cher. D’autant qu’il faut ajouter à ça le prix des rollers et un p’tit hamburger quand même, le tout dans un décor qui, malgré tout, aurait pu être plus poussé.
Mais pour voir un film sous la verrière c’était vraiment super. Je ne regrette pas. Je suis bien contente d’y être allée. C’était très chouette et original.
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]]>Ça faisait un petit moment que je voulais faire un petit billet sur la belle exposition Fashioning Fashion au musée des arts décoratifs de Paris. Et puis vous savez ce que c’est, trop de choses à faire, fatigue, Top Chef, Pékin Express, les premiers rayons de soleil, la troisième saison de Game of Thrones… Au final on est déjà le 16 avril et l’exposition a fermé ses portes il y a deux jours.
J’ai décidé de vous en parler quand même. Cette exposition a déjà traversé l’Atlantique. Peut-être reviendra-t-elle en France un de ces jours…
On avance dans les différentes salles du musée les yeux pétillants de bonheur et d’excitation. Ne me dites pas, les filles, que vous n’avez jamais rêvé d’enfiler une crinoline et de vous glisser dans la peau d’une Scarlett, ou de rêver à Mr Darcy dans une robe de style régence anglaise. Ah, vous voyez, votre œil commence à briller !
Depuis ma plus tendre enfance je suis passionnée par les costumes et les « robes de princesse ». Je me souviens avoir vu, vu et revu Sissi en faisant des arrêts sur image pour regarder consciencieusement les détails des différentes tenues de Romy. Il m’arrivait même de m’emparer de mes crayons de couleur pour croquer mes toilettes préférées !
Tout ça pour dire que cette expo était faite pour moi ! Et j’y ai retrouvé totalement mon compte.
Les différentes pièces proviennent essentiellement de France, d’Angleterre et d’Italie et permettent de retracer une histoire de la silhouette sur deux siècles. L’accent est mis sur les détails et les savoir-faire.
On y découvre aussi bien de somptueuses crinolines, robes à tournure, chinoiseries, toiles venues d’Inde et autres corsets ou costumes pour vous, messieurs.
On en prend plein les yeux. C’était absolument magnifique.
Petit bémol cependant : le peu d’informations sur ceux qui ont un jour porté ces costumes et pour quelles occasions.
Je sais bien que malheureusement l’expo est terminée, mais le musée des arts décoratifs de Paris vaut tout de même le détour. Beaucoup d’expositions temporaires y sont organisées et il y a toujours les collections permanentes de bijoux, meubles…
Un musée à voir pour les passionnés de mode et déco !
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Warm Bodies est l’adaptation ciné de Vivants d’Isaac Marion. J’avais longuement parcouru le roman à l’époque de sa sortie et ça m’avait beaucoup plu. Après avoir vu le film, je peux vous dire que j’ai très envie de me pencher plus sérieusement dans cette lecture…
Un mystérieux virus a détruit la civilisation et contraint les rescapés à se barricader pour se protéger de leurs anciens semblables aujourd’hui adeptes de viande humaine sacrément saignante !
R est un zombie. Mais même s’il apprécie de se farcir la panse de quelques cervelles encore chaudes, il n’en reste pas moins un macchabée au cœur tendre. Car ce tout jeune zombifié collectionne des objets, écoute de vieux vinyles (le son est meilleur), entretient de longues conversations avec son pote M et… tombe amoureux.
Un jour comme les autres, alors qu’il se rend en ville avec ses potes en décomposition dans l’espoir de se sustenter d’une bonne tranche de cervelet, il a le coup de foudre pour Julie et décide de l’épargner. Il l’emmène alors dans son antre et la protège de ses presque amis, les Osseux, encore plus décomposés que lui et qui ne pensent qu’à la bouffer.
Sans le savoir, ce surprenant couple est sur le point de déclencher une guerre qui pourrait bien changer le cours des choses…
Je suis rentrée dans la salle de ciné avec la conviction d’aller voir un nanard niais (essayez de le dire plusieurs fois de plus en plus vite pour voir !)… et j’en suis ressortie le sourire aux lèvres et le cœur plutôt envouté, je dois bien l’avouer. Je vous entends d’ici : « Non mais allô quoi ! Le mec c’est un zombie Léa, il peut pas être attirant. » Et dans les faits vous avez raison.
Plus sérieusement, j’ai beaucoup aimé.
Warm Bodies n’est évidemment pas le film du siècle, mais il a le mérite de nous faire passer un très bon moment, ce qui n’est pas donné à tout le monde.
C’est décalé, délirant, léger, malin et divertissant. On adhère parce que ça ne se prend pas au sérieux et que ça dure juste le temps qu’il faut pour ne pas nous lasser. On ne s’ennuie pas, et même si l’intrigue ne casse pas trois pattes à un zombie, elle est suffisamment bien ficelée pour nous intéresser jusqu’au bout.
On y croit aussi parce que le couple Nicholas Hoult + Teresa Palmer fonctionne bien. Ils sont crédibles, justes et touchants. Et cerise sur le cerveau, la bande originale est géniale !
Warm Bodies est vraiment un excellent divertissement plein de bonnes surprises, à cheval entre la comédie romantique, le film d’horreur et le teenage movie.
Alors, passez outre aux préjugés que vous pourriez avoir sur ce film injustement comparé à Twilight et n’essayez plus de résister : vous allez tomber amoureuse d’un zombie !
Réalisateur : Jonathan Levine
Nicholas Hoult : R
Teresa Palmer : Julie
Rob Corddry : M
John Malkovich : Général Grigio
Analeigh Tipton : Nora
Dave Franco : Perry Kelvin
Cory Hardrict : Kevin
Dawn Ford : Dr. Burke
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J’ai eu la chance d’assister la semaine dernière à une projection presse de Sublimes créatures, le petit nouveau dans l’univers des films pour ado. Présenté comme le concurrent du fade et ennuyeux célèbre Twiligh, l’adaptation cinéma du roman 16 lunes de Kami Garcia et Margaret Stohl vaut-elle vraiment le coup ?
Tour d’horizon d’un film avec des vrais acteurs dedans… et qui ne scintillent pas au soleil en plus !
Le jeune Ethan Wate, lycéen dans une petite ville de Caroline du sud, menait une vie parfaitement normale et ennuyeuse avant de croiser la mystérieuse Lena Duchannes. Malgré la méfiance et les critiques incessantes de ses camarades et de l’ensemble des habitants de Gatlin, Ethan s’est rapproché de la jeune fille. Mais la lycéenne n’est pas une fille comme les autres. C’est une enchanteresse aux pouvoirs surnaturels impressionnants.
Malgré l’attirance qu’ils éprouvent l’un pour l’autre, ils vont devoir faire face à une douloureuse épreuve. Car comme toutes les femmes de sa famille à seize ans, Lena est sur le point d’être Appelée par les forces bienveillantes de la Lumière ou par la puissance maléfique des Ténèbres. Leur amour sera-t-il plus fort que le destin ?
L’adaptation d’un livre au cinéma est une délicate affaire sur laquelle les réalisateurs ont vite fait de s’attirer les foudres des fans excités et tendus à l’idée de voir leur univers préféré porté à l’écran. Indéniablement, les adaptations séparent les spectateurs en deux catégories : les puristes qui ne supportent pas qu’on touche une ligne du scénario original, et les plus laxistes curieux de voir ce que ça va donner.
Et Sublimes créatures ne dérogera sûrement pas à la règle. C’est certain, certaines scènes vont gêner ! Si la trame de base est respectée, on ne peut pas passer à côté des libertés scénaristiques prises par le réalisateur Richard LaGravenese. A commencer par la fin dont un événement en particulier diffère de l’originale. Personnellement, je n’ai pas été plus choquée que ça. Bon, c’est vrai que j’ai lu 16 lunes il y a un bon bout de temps et l’histoire n’était plus forcément très claire dans ma tête. Mais je me suis replongée dans l’univers avant d’écrire ma chronique, et je comprends parfaitement pourquoi le réalisateur a fait ce choix. Il faut avouer que la fin du roman est assez compliquée à comprendre et manque d’explications. Je peux presque dire finalement que je préfère la fin du film que je trouve plus logique et carrément mieux trouvée ! A voir comment se passera le second film en revanche… De plus, alors que dans le roman, le dénouement nous en avait mis plein les yeux, à grand renfort d’éclairs, et d’éléments déchainés, le film ne répond malheureusement pas à notre besoin ardent de spectaculaire. D’une manière générale, on aurait aimé que Richard LaGravenese en fasse plus. J’avais vraiment adoré l’univers de 16 lunes que je trouvais très riche et surprenant. La magie n’a rien à voir avec celle déployée dans Harry Potter. Elle est plus phénoménale, plus théâtrale. Le monde des enchanteurs a un petit côté Burton et famille Adams. C’est un peu extravagant et plein de détails. Du coup, je regrette que l’univers n’ait pas été plus poussé à travers des décors que j’imaginais plus grandioses et farfelus à la fois. Certes les tenues sont très belles mais j’aurai voulu plus que de jolies robes et des coiffures bouffantes !
Bon, je dis tout ça mais malgré tout, Sublimes créatures reste une excellente surprise. Je me suis vraiment régalée. Tandis que les 630 pages s’avalent difficilement, les deux heures du film passent très vite. Pas de temps mort ou de scènes qui se trainent en longueur. L’action s’enchaîne à un rythme soutenu, portée par de vrais acteurs. Et même si les premières apparitions du personnage d’Ethan surprennent – désolée cher Alden Ehrenreich, vous faites plus que votre âge – les suivantes nous réconfortent bien vite. En effet, le jeune acteur, révélé en 2009 par Coppola dans Tetro, apporte une touche de fraîcheur et d’humour. J’ai beaucoup aimé. Le duo qu’il forme à l’écran avec la jeune Alice Englert fonctionne très bien et tous deux font vivre à merveille le couple Ethan/Lena, loin de toute mièvrerie adolescente. Mais c’est avant les excellentes prestations de Jeremy Irons dans le rôle du charismatique oncle Macon et d’Emma Thompson dans celui de la dangereuse Serafine, associées à une image de qualité qui font de Sublimes créatures plus qu’un film pour adolescents.
On n’est certes pas face à un chef-d’œuvre du genre, mais tout de même bien loin du nanard qu’on aurait pu imaginer.
Après la séance, je suis restée longtemps bercée par le souvenir des personnages et de l’univers.
Franchement je suis très agréablement surprise et j’ai beaucoup aimé.
Sublimes créatures
Réalisateur : Richard LaGravenese
Acteurs Principaux :
Ethan Wate : Alden Ehrenreich
Lena Duchannes : Alice Englert
Macon Ravenwood : Jeremy Irons
Ridley Duchannes : Emmy Rossum
Amma : Viola Davis
Mrs. Lincoln / Sarafine : Emma Thompson
Sortie en France : 27 Février 2013
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]]>Samedi dernier c’était déjà un peu Noël car je suis enfin allée voir West Side Story au théâtre du Châtelet. Je dis « enfin » car on avait pris nos places plus de six mois à l’avance et que ça commençait à devenir très difficile pour moi d’attendre. Mais le samedi venu, je trépignais d’impatiente comme une enfant devant un cadeau plus gros qu’elle et dansais dans tout l’appartement en chantant « I like to be in America » devant les yeux désabusés du chéri et du chat.
Vous visualisez la scène ?!
Heureusement pour eux, l’heure est vite venue de se mettre en route direction le théâtre.
Arrivée au Châtelet, je profite de quelques minutes d’attente dans la queue pour regarder autour de moi et remarque que ce Roméo & Juliette des temps moderne touche toutes les générations. Enfants, jeunes et moins jeunes, hommes ou femmes, tout le monde se presse dans les escaliers qui mènent à la salle mythique du centre de Paris.
Une fois installée au balcon, j’ai les yeux grands ouverts et inspecte chaque recoin de la salle que je découvre pour la toute première fois.
Wouah, quel choc !
Et enfin la cloche sonne, les lumières s’éteignent et les premières notes de musique interprétées par l’orchestre « encaissé » sous la scène retentissent. Puis il suffit des célèbres claquements de doigts qui ponctuent les affrontements entre les Jets et les Sharks pour être immédiatement plongé dans l’ambiance.
Et les scènes s’enchaînent à toute vitesse « Tonight », « Maria », « I like to be in America », « I feel pretty » jusqu’au dénouement tragique, au rythme des changements de décor et des mythiques escaliers en ferraille de New York qui se meuvent sur la scène en fonction des différents tableaux. Tout y est. Le spectacle est total. Je ne peux m’empêcher de verser ma petite larme…
Et puis le final arrive, chargé d’émotions. Quelques reniflements parmi les spectateurs. La magnifique performance des comédiens ne laisse pas indifférent… Puis viennent les saluts et la salle entière se lève et applaudit sans relâche. On en redemande tous… Mais malheureusement les lumières se rallument et on reprend tout doucement contact avec la réalité.
Heureusement que Noël est pour bientôt ;-)
Pffiuou, c’est fou ce que c’est vite passé finalement 2h30.
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